75 ans après, nous n’oublions pas. Ils étaient juifs, tsiganes, résistants, opposants, homosexuels, handicapés… Continuons à transmettre la mémoire des déportés. Érigeons la tolérance comme rempart face à l’obscurantisme.
Cette date a été retenue en raison de sa proximité avec la date anniversaire de la libération de la plupart des camps.
La Journée du Souvenir des victimes de la déportation est ainsi l’occasion de sensibiliser le public, plus particulièrement les jeunes, au vécu des déportés ainsi qu’aux conséquences d’une politique répressive et raciale.
Si l’état d’urgence sanitaire et les mesures de confinement ne permettent pas l’organisation des cérémonies dans les conditions habituelles, ils ne doivent donc pas nous faire oublier le souvenir de ceux qui ont été victimes des nazis en raison de leur religion, leurs idées ou leur orientation sexuelle.
La voix des déportés doit être entendue, la Mémoire transmise.