François de Gaillard, président de l’Institut Vendéen Clemenceau de Lattre, prononcera une conférence sur

« Clemenceau – de Lattre, exemple de réconciliation nationale »

mardi 24 juin 2025

à 18 heures 30

Ecole militaire de Paris

Si vous en avez la possibilité, vous êtes cordialement invités à assister à cette conférence.

Pour des raisons de sécurité, il est important avant le 20 juin 2025 :

• de vous inscrire via le lien suivant

• et en vous signalant au mail du secrétariat indiqué aussi sur le carton : secintramarine@gmail.com

N’oubliez pas de faire ces deux démarches impérativement avant le 20 juin 2025, sinon vous ne pourrez pas pénétrer sur le site.

• Cliquez ici pour télécharger l’invitation

Cette exposition exceptionnelle retrace les destins d’artistes et d’intellectuels qui, durant la Seconde Guerre mondiale, ont choisi l’exil et mené un combat culturel intense. Leurs créations deviennent des armes au service de la Liberté et de la France libre. Découvrez des œuvres uniques, des portraits saisissants, des récits vibrants. Fernand Léger, Jean Gabin, Ossip Zadkine, Romain Gary, Alexander Calder, Paul Éluard… et bien d’autres.

Dès le début de la Seconde Guerre mondiale, de nombreux artistes et intellectuels fuient la France de Vichy et l’Occupation et  prennent le chemin de l’exil. De Londres à New York, d’Alger à Buenos Aires, l’exposition souligne l’incroyable vitalité de la création dans les territoires libres, et racontent les destins de figures célèbres engagées pour la France libre.

Fernand Léger, Anna Marly, Jean Gabin, René Cassin, Alexander Calder… autant de figures marquantes dont les œuvres et les actions se mettent au service de la Liberté. L’exposition reconstitue deux lieux emblématiques du carrefour créatif du New York de l’époque : l’atelier du sculpteur Ossip Zadkine  – exilé dès 1941 – et la librairie Gotham Book à l’atmosphère vibrante où l’esprit français s’épanouissait en pleine guerre.

Exposition jusqu’au 22 juin 2025 : Tous les jours de 10h à 18h.  Nocturne jusqu’à 22h chaque 1^er vendredi du mois.

A l’occasion du 60ème anniversaire de la mort de Claude Guyot survenue le 30 avril 1965, il a semblé naturel et nécessaire à l’Association Claude Guyot, la ville d’Arnay-le-Duc, l’Université de Bourgogne et au collège Claude Guyot d’Arnay-le-Duc de s’associer aux fins de rendre hommage à Claude Guyot, Résistant et figure politique incontournable de la Côte-d’Or et plus généralement de la Bourgogne.
Comme l’aurait voulu ce dernier, il s’agit avant tout d’honorer la mémoire de la Résistance, ainsi que les idéaux portés et défendus par l’ensemble des compagnons de Résistance de Claude Guyot, connus ou anonymes, qui ont contribué à la Victoire de la France sur l’Allemagne nazie. La date du 9 mai a été fixée comme étant la plus proche du 30 avril et convenant à l’ensemble des parties prenantes à cette journée de commémoration.

Comment s’est déroulée cette journée d’hommage ?

Le matin, au Collège Claude Guyot d’Arnay-le-Duc, s’est déroulée une table ronde à destination des élèves, des professeurs et des membres du personnel pédagogique et administratif :

• M. Vincent Chambarlhac, professeur en histoire Contemporaine à l’Université de Bourgogne : « Le temps long de la République : quelques réflexions… »

• M. Thierry Hohl, professeur agrégé d’histoire contemporaine à l’UNSPE de Université de Bourgogne : « Refonder la République en Côte-d’Or (1944-1947) : le rôle de Claude Guyot »

À l’issue de cette table ronde, un hommage avec un dépôt de gerbes a eu lieu devant la plaque à l’entrée du Collège Claude Guyot d’Arnay-le-Duc en présence de MM. Benjamin Leroux, maire d’Arnay-le-Duc, Hadrien Lacoste, président de l’Association Claude Guyot et de M. Bruno Colin, principal du collège Claude Guyot d’Arnay-le-Duc.

Une table ronde à l’Hôtel de Ville d’Arnay-le-Duc pour éclairer sur une figure, des institutions et le contexte d’une époque : « Résister, épurer et Libérer : autour de Claude Guyot »

A travers la personne de Claude Guyot, socialiste, résistant, maire d’Arnay-le-Duc, président du CDL, élu député de la Constituante en 1945, il s’est agit d’interroger une époque, courte mais si féconde en événements, de la guerre à la Libération. La table ronde envisagera les
processus d’écriture de la Résistance puis sur la période de la Libération, le rôle de Claude Guyot, défenseur intransigeant des idéaux de la Résistance dans la nouvelle République.

La table ronde s’est articulée au travers de différents interventions comme il suit :

• Introduction de M. Benjamin Leroux, maire d’Arnay-le- Duc, conseiller communautaire du Pays d’Arnay-Liernais et de M. Hadrien Lacoste, président de l’Association Claude Guyot, 1er vice-président de l’Institut Vendéen Clemenceau de Lattre.

• M. Vincent Chambarlhac, professeur en anthropologie à l’Université de Bourgogne : « Une écriture singulière de la Résistance »

• Mme Harmonie Mariette, doctorante en Histoire Contemporaine à l’Université de Bourgogne : « Claude Guyot, présider le Comité de Libération »
• M. Thierry Hohl, professeur agrégé d’histoire contemporaine, CGC. Université de Bourgogne : « Un conflit, Claude Guyot et Voisenet, Commissaire du Gouvernement auprès la Cour de Justice »

• La conclusion de cette table ronde a été faite par Jacques Perot, membre correspondant de l’Institut au titre de l’Académie des sciences morales et politiques, conservateur général (h) du Patrimoine, ancien directeur du Musée de l’Armée.

Une cérémonie d’hommage à Claude Guyot et à ses compagnons de Résistance au cimetière d’Arnay-le-Duc

La journée d’hommage s’est conclue par une cérémonie d’hommage au cimetière d’Arnay-le-Duc avec dépôt de gerbes sur la tombe de Claude Guyot.

La cérémonie a été ponctuée par la lecture de différents textes :

• Lecture par Jean Danton-Maublant, arrière-arrière-petit-fils de Claude Guyot, d’un discours prononcé par Claude Guyot devant le Monument aux Morts d’Arnay-le-Duc en mai 1945.

• Lecture par Ryan Geyer, élève en classe de 4^ème au collège Claude Guyot d’Arnay-le-Duc, conseiller départemental jeune de la Côte d’Or, d’un discours prononcé par Claude Guyot en septembre 1945 en hommage à Lucienne et Jean Barnet.

• Lecture par Clovis Tillerot-Buffet, élève en classe de 4^ème au collège Claude Guyot d’Arnay-le-Duc, d’un discours prononcé par Claude Guyot en mai 1945.

La lecture de ces textes a été suivie d’une interprétation du Chant des Partisans et de la Marseillaise par les élèves du Collège Claude Guyot d’Arnay-le-Duc. Etaient également associés à la cérémonie d’hommage les porte-drapeaux, les autres associations mémorielles et de décorés ainsi que l’ensemble de la population.

Cette cérémonie s’est déroulée en présence de Marc Hueber, président de l’Association « ANSORA » – Association nationale des sous-officiers de réserve de l’armée de l’air et de l’espace, Benjamin Leroux, maire d’Arnay-le-Duc, conseiller communautaire à la communauté de communes du Pays d’Arnay-Liernais, Chantal Nicolle, 2^ème vice-présidente de la communauté de communes du Pays d’Arnay-Liernais, conseillère municipale d’Arnay-le-Duc, Pierre Poillot, conseiller départemental du canton d’Arnay-le-Duc, maire de Vianges, Denis Myotte, maire de Bligny-sur-Ouche, vice-président de l’Association des maires de France de la Côte d’Or, Martine Eap-Dupin, 2^ème Vice-présidente du Conseil départemental de la Côte d’Or, du Docteur Alain Houpert, sénateur de la Côte d’Or, Michel Libre, Maire de Lacanche, du Général (2S) Olivier Erschens, président de la section de la Côte d’Or de la société des membres de la Légion d’honneur, Roselyne Canet, vice-présidente de la section de la Côte d’Or de l’association nationale des membre de l’ordre national du Mérite, Daniel Demonfaucon, président de l’association des membres de l’ordre des Palmes académiques, du Major Sébastien Rabin, commandant de COB – Brigade de Gendarmerie d’Arnay-le-Duc, Jean Mayou, conseiller municipal de Manlay,

Vin d’honneur à l’Hôtel de Ville d’Arnay-le-Duc

La journée s’est conclue par un vin d’honneur offert par la municipalité d’Arnay-le-Duc.

L’association Claude Guyot tient particulièrement à remercier l’Université de Bourgogne et notamment, Harmonie Mariette, Thierry Hohl et Vincent Chambarlhac, la ville d’Arnay-le-Duc, son maire, Benjamin Leroux, son adjoint au maire, Christophe Cramette, le conseil départemental de la Côte d’Or, son président et ancien Ministre, François Sauvadet, sa 2ème vice-présidente, Martine Eap-Dupin, notre conseiller départemental, Pierre Poillot, ainsi que la Caisse locale d’Arnay-le-Duc du Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne sans qui cette journée n’aurait pu connaître le succès qu’elle a pu rencontrer.

Le vendredi 16 mai 2025 a été publiée au Journal officiel la nouvelle promotion civile de l’ordre national du Mérite.

Elle distingue 1 171 personnes dont 975 chevaliers, 164 officiers et 27 commandeurs. Elle élève également 4 grands officiers et 1 grand’croix.

Parmi les personnes distinguées au grade de chevalier au sein du second ordre national de notre pays, figure Hadrien Lacoste, président de l’association Claude Guyot, 1er vice-président de l’Institut Vendéen Clemenceau de Lattre, vice-président de la Maison Régionale des Arts de la Table d’Arnay-le-Duc, vice-président chargé des régions et délégué régional pour la Bourgogne de l’Observatoire du Patrimoine Religieux.

• Cliquez ici pour accéder à l’intégralité de la promotion

Dans le cadre des activités organisées par l’Association Claude Guyot, son président, Hadrien Lacoste et son vice-président, Jacques Perot, membre correspondant de l’Académie des Sciences morales et politiques, ont conduit une passionnante visite de l’Institut de France à destination des élèves et des enseignants du collège Claude Guyot d’Arnay-le-Duc, le mardi 1^er avril dernier.

Protecteur des arts, des lettres et des sciences » : telle est la devise de l’Institut de France ! Il est installé dans l’un des plus beaux édifices de la capitale : l’ancien collège des Quatre-Nations, fondé entre 1662 et 1688 par le cardinal Mazarin. Depuis 1795, il réunit cinq académies : l’Académie française, l’Académie des inscriptions et belles-lettres, l’Académie des sciences, l’Académie des beaux-arts et l’Académie des sciences morales et politiques. Il abrite aussi la Bibliothèque Mazarine, la plus ancienne bibliothèque publique de France. 

Sous la Coupole de l’Institut se tient, tous les ans au mois d’octobre, la séance de rentrée solennelle des cinq académies. Un délégué de chacune d’elles y prononce ce jour-là un discours sur un thème commun. C’est aussi à l’automne que s’y déroulent les séances solennelles de rentrée des académies. Au mois de juin, la cérémonie de remise des Grands Prix des Fondations met à l’honneur les lauréats de l’année. La Coupole est également le lieu des cérémonies d’installation des nouveaux académiciens. Lors de tous ces événements, les membres de l’Institut revêtent “l’habit vert” (en réalité bleu nuit, brodé de rameaux d’olivier vert et or) et portent pour la plupart d’entre eux l’épée qui peut être une véritable œuvre d’art ornée des symboles de leur choix. 

La Coupole, point d’orgue du projet de Le Vau

Les travaux de construction du Collège des Quatre-Nations voulus par le cardinal Mazarin débutèrent en 1663. Louis Le Vau, le célèbre architecte du château de Vaux-le-Vicomte qui avait travaillé au Louvre et à Versailles, fut choisi pour en dessiner les plans. Il ne connaîtra pas la fin du chantier, notamment la décoration. Le projet, rendu difficile par la forme de la parcelle, présentait une façade en arc de cercle terminé par deux pavillons, dont l’un était destiné à accueillir la bibliothèque de Mazarin (actuelle bibliothèque Mazarine).

Au centre, la chapelle du collège, couronnée de sa double coupole, devait accueillir le tombeau du cardinal. À l’arrière étaient prévues les salles de classes et les logements. L’équilibre de ses proportions font de l’édifice, joignant sur les eaux de la Seine son reflet à celui du palais du Louvre l’un des plus beaux de la capitale.

Ouvert en 1688, le collège fonctionna près de 100 ans, accueillant des élèves qui deviendront illustres comme d’Alembert, futur secrétaire perpétuel de l’Académie française, ou le chimiste Antoine Lavoisier. En 1790 le collège fut fermé, transformé en prison, retenant le peintre David, lui-même ancien élève du Collège, ou Guillotin, avant de servir de réserve à grains.

L’installation des Académies dans le Palais

En 1801, Napoléon décida de loger tous les grands corps de l’État dans des bâtiments dignes de leurs missions et suffisamment fonctionnels pour garantir l’exercice de leurs fonctions. En 1805, il fait installer les académies dans l’ancien Collège des Quatre-Nations.

L’association Claude Guyot au service de la transmission de la Mémoire et du savoir…

Élèves et professeurs du Collège Claude Guyot d’Arnay-le-Duc ont pu prendre place sur les fauteuils habituellement occupés par les académiciens, plus communément appelés les « immortels », lors des séances solennelles sous la célèbre coupole. Ils ont également pu découvrir la cour d’honneur de l’Institut ainsi que la bibliothèque Mazarine, la bibliothèque de l’Institut de France et la salle des séances des académies où se déroulent les réunions quotidiennes des académiciens, notamment la commission du dictionnaire de l’Académie française. Elèves et professeurs ont même pu échanger quelques instants avec Bernard Stirn, Président de section honoraire au Conseil d’Etat et Secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences Morales et Politiques. Une visite au sommet que nos jeunes arnétois ne sont pas prêts d’oublier !

La journée s’est clôturée par la pièce Macbeth d’après William Shakespeare, dont la traduction est due à Yves Bonnefoy et l’adaptation et la mise en scène scénographie assurées par Silvia Costa. 

Une journée particulièrement riche qui a été très appréciée par les élèves et les professeurs du collège Claude Guyot d’Arnay-le-Duc.

L’Association Claude Guyot en partenariat avec la ville d’Arnay-le-Duc, l’Université de Bourgogne et le collège Claude Guyot d’Arnay-le-Duc, avec le soutien du Conseil départemental de la Côte d’Or ont le plaisir de vous convier le

vendredi 9 mai 2025

à Arnay-le-Duc
à la Journée de Commémoration
organisée à l’occasion du 60ème anniversaire de la disparition de

Claude Guyot
(1890-1965)

Résistant,
Membre du Groupe Libération-Nord,
Président du Comité départemental de Libération de la Côte d’Or,
Maire d’Arnay-le-Duc (1926-1965),
Député de la Côte d’Or à l’Assemblée nationale constituante
(1945-1946)

Vous trouverez ci-dessous :

• Le dossier de presse avec le programme détaillé de la journée du 9 mai 2025,

• L’affiche éditée spécialement pour l’évènement,

• Le flyer avec le programme détaillé de la journée du 9 mai 2025,

• L’invitation à la cérémonie mémorielle officielle qui conclura la journée d’hommage du 9 mai 2025 au cimetière d’Arnay-le-Duc.

Vous êtes tous les bienvenus à l’occasion de cette journée du 9 mai 2025. La participation à l’ensemble des manifestations est intégralement gratuite.

A Mouilleron-en-Pareds (Vendée), le dimanche 19 janvier 2025, avait lieu la cérémonie d’hommage au Maréchal Jean de Lattre de Tassigny à l’occasion du 73ème anniversaire de sa disparition.

A cette occasion, Hadrien Lacoste, président de l’association Claude Guyot et 1er vice-président de l’Institut Vendéen Clemenceau de Lattre a procédé à un dépôt de gerbe sur la tombe du Maréchal Jean de Lattre de Tassigny, de la Maréchale et de leur fils Bernard.

Cette cérémonie s’est déroulée en présence de Christophe Pecate, sous-préfet de Fontenay-le-Comte, Pierre Henriet, député de la cinquième circonscription de la Vendée, Brigitte Hybert, sénatrice de la Vendée, Catherine Poupet, conseillère départementale de la Vendée, de nombreux élus et de plus de 70 porte-drapeaux et de 80 cadets de la Défense nationale de Nantes et de Saint-Maixent.

Officier général français, héros de la seconde guerre mondiale, compagnon de la Libération, Jean de Lattre de Tassigny fait partie des français qui ont permis à la France de rester une nation libre et forte. Il créa la première armée française à la reconquête de la France et de l’Alsace et signa pour la France la capitulation de l’armée allemande, à Berlin, en 1945.

Sa devise : « Ne pas subir ! » doit être une boussole pour nos contemporains en ces temps troublés politiquement dans notre pays, à un moment où la situation géopolitique internationale demeure plus qu’incertaine.